Oui en effet, réfléchissez à 2 fois avant de vous roulez dans l’herbe , de folâtrer dans les champs, de courir les sous bois en sandales…
Maladie de Lyme toujours plus de victimes
A l’instar de cette jeune femme dans le reportage , la plupart des victimes de la maladie de Lyme souffrent d’intenses douleurs dues à une forme ,qui devient très vite ,chronique de la maladie de Lyme. Mordue par une tique en 2002, elle n’a été diagnostiquée que 13 ans plus tard. Pour la première fois l’existence d’une forme chronique de la maladie de Lyme est envisagée officiellement par les autorités de santé… mais avec précaution. Il est notamment conseillé de « faire un bilan, pour savoir si on ne passe pas à côté d’une autre maladie », comme l’explique le Dr Cédric Grouchca, de la Haute Autorité de santé. Une épidémie en forte progression Faut-il reconnaître la maladie de Lyme sous sa forme chronique, et autoriser les traitements antibiotiques de longue durée, et les tests actuels sont-ils vraiment fiables ? Ces controverses divisent les infectiologues. Ces tests sont actuellement en cours d’évaluation par l’agence du médicament. Selon les résultats, les recommandations officielles pour le diagnostic de Lyme pourraient évoluer. L’épidémie, elle, continue de progresser : +65% entre 2015 et 2016, avec 50 000 nouveaux malades officiellement recensés.
La prévention reste la meilleure arme
La maladie de Lyme reste la plus fréquente des infections bactériennes transmises par les tiques dans l’hémisphère Nord. Surtout responsable de manifestations cutanées, elle peut, si elle n’est pas traitée, avoir des répercussions sur de multiples organes. Certaines des manifestations très tardives qui lui sont attribuées font l’objet de controverses, et parfois de différences d’appréciation entre spécialistes sur la prise en charge de la maladie, comme en témoignent des échanges récents, assez vifs, dans une revue médicale internationale.
L’incidence de la maladie de Lyme (ou borréliose) varie selon la latitude, l’environnement naturel (forêts, taillis, prairies), la densité des tiques et le pourcentage variable (de 5 à 30 %) de celles qui sont infestées par la bactérie responsable, Borrelia burgdorferi et ses apparentées. En Europe, la maladie prédomine surtout en Autriche, en Slovénie et en Allemagne. En France, les régions les plus touchées sont l’Alsace (près de 2 cas par an pour 1 000 habitants), la Lorraine, la Franche-Comté et le Limousin. Quoique plus rare ailleurs (moins d’un cas par an pour 5 000 habitants), elle est présente presque partout en dessous de 1 500 m. Elle est peut-être sous-diagnostiquée.
Enlever la tique correctement
Principales victimes: les professions exposées (agriculteurs, viticulteurs, forestiers) et les promeneurs. La tique vecteur, Ixodes ricinus, vit sur les herbes et les feuilles. À chaque stade, larve, nymphe et femelle adulte, elle a besoin d’un repas de sang et s’infeste en ingérant celui d’un animal porteur de la bactérie, qu’elle inocule à sa victime suivante. La meilleure solution reste la prévention: porter des vêtements longs en forêt et se faire examiner le corps au retour, cuir chevelu compris, car la tique, petite, se fixe dans la peau par une piqûre indolore. Elle doit être ôtée correctement, à l’aide d’un tire-tique ou d’une pince, d’autant plus tôt que la tique n’inocule pas la bactérie dans les douze heures suivant la piqûre.
Pour la retirer une méthode simple consiste à imbiber la zone de présence d’huile d’olive .. la tique au bout de 24heures se retrouve comme asphyxiée et meut , se décrochant automatiquement…
Il suffit ensuite de désinfecter la zone et de la surveiller. Le plus souvent, il ne se passe rien ou presque. Mais si une plaque rouge, même petite, apparaît après quelques jours et s’étend, mieux vaut consulter le médecin car il peut s’agir d’un érythème migrant. C’est 8 fois sur 10 la première manifestation de la maladie de Lyme, accompagnée parfois d’un peu de fièvre, de fatigue et de douleurs.
Ensuite que faire… ?
Une synergie est aujourd’hui employée avec succès par de nombreux patients infectés par les borrélies. Elle n’est pas interdite à la commercialisation (notamment parce que son fabricant ne fait aucune allusion à la maladie de Lyme dans ses documents de vente). Elle a pour nom Alternativ’aroma et mélange, dans une base d’huile végétale de Perilla frutescens bio, des huiles essentielles de :
- Cinnamomum camphora bio,
- Melaleuca quinquinervia bio,
- Trachyspermum ammi,
- Laurus nobilis bio,
- Origanum compactum bio,
- Cinnamomum zeylanicum bio,
- Eugenia caryophyllus bio,
- Citrus paradisii bio,
Si vous souffrez réellement de la maladie de Lyme, vous devriez ressentir une amélioration au bout de 4 semaines de prise
Mais méfiez-vous, car la bactérie est particulièrement résistante et lorsqu’elle est attaquée elle peut générer des réactions inflammatoires assez violentes (réaction de Jarisch-Herxheimer). Diminuer alors la posologie ou arrêter totalement le traitement pendant quelques jours et boire suffisamment (1,5 l/j). Il est ensuite conseillé de faire 6 mois de cure. Ainsi, les huiles essentielles auront le temps d’imprégner l’ensemble de votre organisme et ne laisseront aucune échappatoire aux bactéries.
Il existe en capsules :
Il existe aussi en gouttes:
Pour en savoir plus sur , n’hésitez pas à me contacter directement, il existe aujourd’hui un protocole permettant de faciliter un retour au mieux être , basé sur des principes claires de naturopathie et alimentation saine , associé à des compléments nutritionnels de très haute qualité.
N’hésitez pas à laisser votre commentaire en dessous dans le formulaire de contact..
A bientôt !