Un article publié le 25 février 2015 par Lise Loumé sur le site « Sciences et avenir », aborde les conséquences sur la santé du stress subi sur l’enfance et la vie d’adulte….
Ainsi , après une étude réalisée en Grande Bretagne sur deux critères : évènements traumatiques dans l’enfance comme le divorce des parents, l’absence de soins, l’alcoolisme des parents…. et l’usure biologique de l’organisme , déterminée en 14 points précis ……les résultats montrent que ceux ayant subi un fort stress en enfance sont beaucoup plus « usés » bio-chimiquement parlant « que les autres….
De même plusieurs études ont démontré qu’un fort stress durant l’enfance était un facteur de risque majeur de dépression.
Pour en comprendre le mécanisme, les chercheurs d’une université au Texas ont réalisé une étude du niveau d’humeur, couplée à un scanner du cerveau d’un nombre de jeunes de 11 à 15 ans .
Ils se sont aperçus que chez les adolescents qui avait été négligé affectivement l’activité dans les zones de la récompense, ainsi que la capacité à ressentir des émotions positives a été fortement diminuée !
« Plus concrètement, trop de stress tôt dans la vie compromet la capacité à éprouver de l’enthousiasme et du plaisir, dans la vie d’adolescent et plus tard d’adulte.